C'etait juste une femme bléssée par la vie
Une femme bléssée de savoir qu'elle n'aura pas ce qu'elle voulait...
De savoir qu'elle ne l'aura jamais...
Cette chose qu'elle désirait par dessus tout
Que tant de personnes ont sans meme le vouloir
Elle, elle ne l'aurait pas
Elle se trouvée là, dans la rue
Entourée de gens mais pourtant si seule
Elle était privée de son droit de femme
Elle regardait les gens passer...
Surtout les femmes
Les autres qu'elle, elle les regardait, pas par attirance non
Par envie seulement...
Puis avc jalousie, elle se sentait oppréssé
Comme si la cause de son malheur se devinait dans ses yeux
Mais la seule chose qui se devinait
Etait l'entendu de la blessure de cette âme à présent vide
Un sentiment de honte, de tristesse, de degout d'elle même
Tout fut soudains remis en cause
Tout ce pourquoi elle se battait depuis tant de temps ne serait qu'illusion
Qu'un rêve enfuit au fond d'elle qu'il ne faudrait pas laisser remonter
Pour ne pas se briser un peu plus.
On lui avait offert un droit, on lui avait meme promis
Et il a suffit des mots d'un seul homme pour tout envoler
Envoler son coeur, envoler son statut de femme
Une blessure qui prend dans la poitrine au point de faire litteralement mal
Une douleur si intense qu'on voudrait mourir pour ne plus la ressentir
Elle ne savait plus ce qu'elle voulait
Elle ne voulait plus rien, car maintenant
Où qu'elle aille, quoi qu'elle fasse , rien ne pourrait changer ça
Seul le temps pourrait peut-etre apaiser sa blessure
Mais jamais la guérir.
Elle était prisonniére de ce mal et seule
Soudain ce fut un sentiment d'inutilité qui la submerga
elle était inutile, elle ne pourrait jamais combler ce manque
C'était juste une femme bléssé par la vie
Qui vit tous ces rêves s'envoler un soir de Novembre
C'était juste une femme bléssée de ne pas pouvoir un jour
Donner la Vie...
Une femme bléssée de savoir qu'elle n'aura pas ce qu'elle voulait...
De savoir qu'elle ne l'aura jamais...
Cette chose qu'elle désirait par dessus tout
Que tant de personnes ont sans meme le vouloir
Elle, elle ne l'aurait pas
Elle se trouvée là, dans la rue
Entourée de gens mais pourtant si seule
Elle était privée de son droit de femme
Elle regardait les gens passer...
Surtout les femmes
Les autres qu'elle, elle les regardait, pas par attirance non
Par envie seulement...
Puis avc jalousie, elle se sentait oppréssé
Comme si la cause de son malheur se devinait dans ses yeux
Mais la seule chose qui se devinait
Etait l'entendu de la blessure de cette âme à présent vide
Un sentiment de honte, de tristesse, de degout d'elle même
Tout fut soudains remis en cause
Tout ce pourquoi elle se battait depuis tant de temps ne serait qu'illusion
Qu'un rêve enfuit au fond d'elle qu'il ne faudrait pas laisser remonter
Pour ne pas se briser un peu plus.
On lui avait offert un droit, on lui avait meme promis
Et il a suffit des mots d'un seul homme pour tout envoler
Envoler son coeur, envoler son statut de femme
Une blessure qui prend dans la poitrine au point de faire litteralement mal
Une douleur si intense qu'on voudrait mourir pour ne plus la ressentir
Elle ne savait plus ce qu'elle voulait
Elle ne voulait plus rien, car maintenant
Où qu'elle aille, quoi qu'elle fasse , rien ne pourrait changer ça
Seul le temps pourrait peut-etre apaiser sa blessure
Mais jamais la guérir.
Elle était prisonniére de ce mal et seule
Soudain ce fut un sentiment d'inutilité qui la submerga
elle était inutile, elle ne pourrait jamais combler ce manque
C'était juste une femme bléssé par la vie
Qui vit tous ces rêves s'envoler un soir de Novembre
C'était juste une femme bléssée de ne pas pouvoir un jour
Donner la Vie...